Très bon deuxième épisode qui m'a fait rire (le premier ne m'avait arraché que des sourires),

L'intro avec les gags méta est bien réussi, la première apparition de Chang est dantesque et même la partie Guatemala arrive à tenir debout de par des gags bien cons comme je les aime ("Silence = Death" alors qu'ils ont tous un scotch sur la bouche).

Mon seul bémol est cette histoire d'amour qui commence entre Jeff et Brita, qui semble sentir le réchauffé. A voir.

L'intrigue sur le Guatemala n'est pas terrible. Heureusement, l'épisode grâce à deux excellents personnages : tout d'abord, Señor Chang bien qu'il ne soit ici pas très utile à l'épisode et qu'il en fait peut-être un peu trop. Mais LE personnage de l'épisode, c'est surtout Pierce dans son rôle de loser à la recherche de l'acceptattion des autres et son duo avec Jeffrey le prétentieux fonctionne du coup très bien. Dans le reste de l'épisode, Abed confirme sa très bonne impression du pilot et commence ses blagues méta devenues cultes, tout comme son duo de fin d'épisode avec Troy.

Un épisode sympa avec des storylines pas très intéressantes mais avec des moments hilarants, notamment grâce à Señor Cheng et au beat-box entre Troy & Abed ! J'aime bien aussi les réflexions meta d'Abed entre la vie et les séries TV.

j'ai aimé pour les mêmes raisons que dewey, senor chang tout de suite énorme, le rap de fin excellent, bref ça s'annonce très bien

Et bien moi, j'ai ri pratiquement du début à la fin. J'ai trouvé ça très drôle de bout en bout et vraiment bien construit (je ne sais pas si c'est spécifique à cet épisode, mais tout était lié jusqu'au plus insignifiant élément du scénario alors qu'il semblait y avoir 2 storylines bien distinctes, et j'ai adoré ça).

Le chinois (je sais enfin d'ou viens ce gif Gay si cher à Koss maintenant), à l'image d'Abed l'épisode précédent, devient instantanément culte, et le vieux est assez délirant dans son genre, à mi chemin entre le bon gros connard de base et le type sympa qui ne demande qu'à être aimé (ce qu'il n'est pas à cause de la première raison dont il n'a pas conscience tellement c'est devenu naturel chez lui ... un personnage presque tragique, en somme).

Et le rap de fin était très drôle.

Bref, je suis manifestement déjà conquis par la série grâce à des épisodes pourtant pas super bien notés (et là ou d'autres le sont vraiment bien) et j'ai hâte de voir la suite pour voir ce qu'un épisode qui mérite 16 de moyenne pour la plupart a dans les tripes, vu comment je me suis déjà régalé avec des épisodes à 11 et 12 de moyenne.

Un épisode pas mal qui montre la comment la série pourrait continuité dans les semaines à venir ce qui est pas mal!!!

L'arrivée du Senor Chang, la présentation finale et le beat box post génériques suffiraient a me faire rematter cet épisode. Fort heureusement le reste est sympathique.

Un épisode qui montre une réelle amélioration vis à vis du pilote. La relation entre Pierce et Jeff est quand même très bien mené et l'exposé marque un moment central dans l'évolution de Jeff.

Cet épisode est surtout, vis à vis du pilote, drôle de par la présence de Ken Jeong qui est quand même excellent.

Enfin, je trouve que la scène finale de l'exposé montre parfaitement la qualité de mise en scène de cette série grâce à un gros travail sur le montage et la musique. C'est une des grandes forces de Community : son ambition dans sa mise en scène et sa capacité à aller assez loin pour faire de l'humour absurde. Tout de même, un exposé d'espagnol mélangeant fusillade entre robots, kidnapping d'indien et intrigue géo-politique, c'est tout de même bien pensé...

P.S. A noter le rap final devenu un grand classique

Attention : il semble que les scénaristiques est donné carte blanche à Ken Jeong pour faire n'importe quoi pendant 5 minutes par épisodes. Personnage sorti de nul part, il illumine vraiment le show.

Épisode assez poussif, à part ça, éclairé par quelques moment percutants dont une scène de beat-box finale tordante.